«L’école française a produit des lettrés fiers de leurs racines berbères mais cette «fierté» ne s’est que rarement muée en berbérisme pro-colonial. Le fossé «racial» entre «Berbère» et «Arabes» qui fondait le discours de division de l’administration française s’avérait d’autant plus imaginaire que ces deux «ethnies» partageaient la même malheureuse condition, dans une économie dominé dominée par les colons.»
Source : La genèse de la Kabylie – essai – édition Barzakh 2015
Yassine Temlali est un journaliste, traducteur et chercheur en histoire et en linguistique, né en 1969