«Certes derrière la soie de ce silence se tapit le soi, ou le moi, qui s’écrivant peu à peu s’arrime, en se coulant dans le sillon de l’écriture, aux replis de la mémoire et à son premier ébranlement – un soi – moi, plus anonyme, car déjà à demi effacé… »
Source : Nulle par dans la maison de mon père – roman – éditions Actes Sud – 2007